CYSTITE & INFECTION URINAIRE : mode d’emploi ?
Ça commence par une envie fréquente d’aller aux toilettes alors que la vessie est presque vide…et les brûlures au moment d’uriner sont parfois à la limite du supportable, si bien qu’on n’ose plus y aller tellement c’est douloureux…sans compter que l’urine peut être malodorante. Vous l’avez reconnue ? Et oui, la cystite s’est installée dans votre vessie. Mais ce n’est pas une fatalité ! Voici un mode d’emploi pour traiter et éviter les infections urinaires.
La cystite : un scénario classique mais pas dramatique !
Inutile de paniquer, l’infection urinaire reste très commune et bénigne : 70 % des femmes auront au moins une cystite dans leur vie1. Mais à l’apparition des premiers symptômes, il faut réagir vite, pour que la cystite puisse disparaître rapidement.
Pour soulager vos douleurs à la vessie, il faut éliminer les principales bactéries responsables des cystites aigues simples. Il s’agit des bactéries Escherichia coli ou E.coli. Voici donc un mode d’emploi destiné à vous aider en cas de cystite. En effet, la cystite est une infection due à la présence de ces bactéries dans les urines et la vessie. Elles sont même en cause dans 9 cystites sur 102. Il est donc inutile de se culpabiliser en cas d’infection urinaire : ce n’est pas de votre faute même si, au-delà du facteur malchance, des facteurs de risques existent.
En effet, de nombreux facteurs influencent le risque de cystite. En les connaissant, il vous sera possible d’agir sur certains d’entre eux et ainsi de pouvoir éviter les récidives. On parle de cystite récidivante, lorsque la cystite revient avec ces symptômes à supporter au moins quatre fois par an. C’est pour cette raison qu’il faut prendre connaissance du mode d’emploi d’une cystite aigue simple pour pouvoir la traiter correctement.

Vous êtes très active sexuellement ? Pour éviter les infections urinaire : des précautions à prendre !

Les rapports sexuels à répétition sont bien connus pour déclencher une infection urinaire. On la nomme même la « cystite lune de miel ». Le risque augmente encore lorsqu’il s’agit d’un ou plusieurs nouveau(x) partenaire(s). Pendant un rapport sexuel, les frottements permettent aux bactéries intestinales de passer plus facilement de la région anale à la région vaginale jusqu’à l’urètre et la vessie. Les germes s’accrochent à la paroi de la vessie et provoquent alors l’infection. Pour diminuer le risque, il est important de ne pas passer d’un rapport anal à un rapport vaginal sans nouvelle protection ou sans avoir lavé le sexe de votre partenaire ou le sex-toy. Il est également recommandé d’aller aux toilettes au plus tard 15 minutes après chaque rapport. En évacuant vos urines, vous éliminez dans le même temps les bactéries présentes dans la vessie ou dans l’urètre.
Votre moyen de contraception peut également avoir des conséquences : il est reconnu que le diaphragme, souvent utilisé avec un produit chimique destiné à tuer les spermatozoïdes (spermicides), augmente le risque d’infection urinaire3.
Hygiène de vie pour réduire les infections urinaires : vivre d’amour et surtout d’eau fraîche !
Cystite : mode d’emploi. Le manque d’eau favorise les cystites. À l’inverse, boire beaucoup d'eau, entre 1,5 et 2 litres par jour, a un effet diurétique. Une émission d'urine abondante permet d'évacuer les germes. Boire beaucoup est d'ailleurs un principe de base du traitement des cystites.
Il existe néanmoins des facteurs anatomiques sur lesquels il ne sera malheureusement pas possible d’agir : la facteur le plus important est sans doute d’être de sexe féminin. L’urètre est plus court que chez nos partenaires masculins et son orifice externe (méat urinaire), le vagin et l’anus sont proches ce qui favorise la passage des germes entre les deux orifices.
Hygiène intime & infection urinaire : les choses à faire (et à ne pas faire)
Déjà, dites-vous bien que vous n’êtes pas sale parce que vous avez une cystite ! Un des points phares du mode d’emploi de la cystite est l’hygiène intime. Si elle est non adaptée, cette dernière peut néanmoins déséquilibrer le microbiote vaginal et favoriser l'émergence des germes responsables de votre infection urinaire. La flore au niveau de la vulve et du vagin est fragile et des lavages trop fréquents la fragilise davantage, surtout si vous utilisez des savons ou des gels agressifs qui peuvent entrainer la prolifération de bactéries. Par conséquent, une toilette intime sur les zones génitales externes par jour suffit, avec des produits au pH neutre. Il est inutile et même déconseillé de réaliser des douches vaginales ou de savonner l’intérieur du vagin. Le vagin est auto-nettoyant , il nécessite seulement un bain à l'eau tiède. Et après le passage aux toilettes, il faut toujours s’essuyer d’avant en arrière pour éviter que les bactéries de la zone anale colonisent votre vessie.
Comment savoir si vous avez une infection urinaire ou une cystite : pensez à l’auto-diagnostic !
Si vous souffrez de cystite de manière régulière, vous avez très certainement eu à en endurer les symptômes. Il y a donc peu de doute sur votre propre diagnostic en cas de récidive. Mais il y a (malheureusement) une première fois à tout ! Il est possible de reconnaître une cystite en 3 questions4 :


Pour la cystite, les antibiotiques ce n’est pas automatique
Vous vous dites que le moyen le plus efficace pour vous débarrasser de cette douloureuse infection urinaire est de prendre des antibiotiques ? Pas nécessairement. Les prises répétées d’antibiotiques rendent encore plus vulnérables aux infections. Ce n’est donc pas toujours le mode d’emploi idéal à suivre pour soigner les cystites à répétition. Elles fragilisent la flore intestinale, et quand cette dernière est fragilisée, les organismes vivants nocifs présents dans l’intestin sont de moins en moins bien contrôlés et les infections sont de plus en plus fréquentes. C’est un cercle vicieux infernal.
Saviez-vous que la cystite est la 2ème source de prescription d’antibiotiques chez la femme5 ? Pas étonnant que la bactérie responsable de 90% des infections (Escherichia coli) ait développé une résistance à certains antibiotiques. Ce phénomène dit d’antibiorésistance tend à s’accélérer. S’il y a 20 ans, cette résistance était quasiment inexistante, il s’avère qu’en 2014, 11 % des souches de E. coli étaient devenues résistantes aux antibiotiques de référence pour traiter la cystite6.
Cystite & Infections urinaires : comment limiter les antibiotiques ? Avec Femannose®N
Femannose®N est un traitement sans antibiotiques et sans effets secondaires7. Il est plébiscité par les femmes comme un traitement efficace, rapide et sûr contre les cystites et autres infections urinaires simples basses.
Femannose®N contient du D-mannose et est indiqué pour le traitement et la prévention des cystites et des autres infections urinaires simples basses. Il a l’avantage d’être disponible sans ordonnance en pharmacie. Au bon dosage, les molécules de D-mannose empêchent les bactéries de se fixer à la vessie. Le D-mannose contribue ainsi à réduire les symptômes les plus fréquents des infections simples des voies urinaires basses.
Femannose®N est efficace pour le traitement des cystites et pour prévenir les récidives8.
Femannose®N pour le traitement
Prenez 3 sachets par jour du 1er au 3ème jour, soit 6 g de D-mannose par jour, un dosage unique sur le marché. Puis 2 sachets par jour les 4ème et les 5ème jours. 1 boîte de 14 sachets = 1 traitement de 5 jours. C’est CE mode d’emploi qu’il faut suivre pour traiter la cystite et éviter le recours aux antibiotiques en première intention.
Femannose®N pour la prévention
Pour prévenir les récidives, vous pouvez aussi prendre un sachet par jour. 1 boîte de 30 sachets correspond à 1 mois de prévention. Vous avez la possibilité de prolonger au-delà, avec une pause thérapeutique de 3 à 5 jours tous les 30 jours de prise.
Pour en savoir plus :
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- Efficace* : jugé efficace par 96% des patientes - Etude patiente sur Femannose®N, Yougov pour Klosterfrau, 2018.
- Rapide* : 1 patiente sur 2 ne ressent plus de douleur dès les premières 24 heures - Etude patiente sur Femannose®N, Yougov pour Klosterfrau, 2018.
- Causes & symptômes* : Ameli, Cystite : symptômes et causes, 2021.
- Infection urinaire après un rapport sexuel* : Dr Judith Reichman, Help! What do I do about 'honeymoon cystitis ?, Today, 2005.
- 70% des femmes contractent une cystite au cours de leur vie* : Odoxa pour Femannose, Les Françaises et la cystite, 2018.
- 20 à 50% des hommes seront affectés par une infection urinaire* : La Revue du Patricien, La cystite chez l’homme… ça existe ?, 2021.
1. Odoxa pour Femannose®, Les Françaises et la cystite, 2018.
2. Ameli, Cystite : symptômes et causes, 2021
3. Cochrane, Diaphragme comparé au diaphragme avec spermicide pour la contraception, 2011.
4. J.-M. Bohbot, Prise en charge des cystites : Nouvelles perspectives de traitement, formation pour Femannose®, 2017.
5. Elkharrat D. et al., Épidémiologie de l’infection urinaire communautaire de l’adulte en France, Les infections urinaires, Monographies en urologie, Springer, 2007 : 1-20.
6. INSERM, Résistance aux antibiotiques, 2018
7. Sauf réactions d’intolérance isolées d’ordre digestif.
8. Wagenlehner F.; Lorenz H.; Ewald O.; Gerke P, Why D-Mannose May Be as Efficient as Antibiotics in the Treatment of Acute Uncomplicated Lower Urinary Tract Infections—Preliminary Considerations and Conclusions from a Non-Interventional Study. Antibiotics (2022), 11, 314.