Le D-mannose : un mode d'action mécanique

D-Mannose : la molécule naturellement présente dans l'organisme

D-mannose – Une molécule naturellement présente dans notre organisme

Le D-mannose est le principal composant de Femannose®N. Le D-mannose est un sucre, très proche du glucose, présent en petites quantités par notre organisme. Cette substance active n’est donc pas étrangère à notre corps lui-même. Dans Femannose®N, il provient du maïs non génétiquement modifié.  
Au bon dosage, les molécules de D-mannose empêchent les bactéries de se fixer à la vessie, décrochent celles déjà fixées et les éliminent avec le flux urinaire.

Le D-mannose : trois avantages manifestes

Un principe actif  quasiment  non métabolisé
Une molécule  naturellement présente  dans la vessie
Bien toléré

D-mannose : son mode d'action sur E.Coli1

Le D-mannose cible et neutralise les agents pathogènes responsables de l'inflammation

Le D-mannose est un composant naturel, présent en petites quantités dans notre organisme.

Les bactéries E. coli, dotées de pili (petits poils) spéciaux, adhèrent au D-mannose présent sur la paroi de la vessie et infectent les cellules, déclenchant une inflammation par une réaction de défense de l’organisme.

D-mannose et E-coli

90 % des cystites sont dues à une infection de la bactérie E.coli2

Par l’apport de D-mannose, la bactérie E.coli ne se fixe plus sur les récepteurs de la paroi vésicale sur laquelle le D-mannose est naturellement présent, mais va venir se fixer aux récepteurs du D-mannose qui se trouve en suspension dans l’urine. Lorsque nous fournissons au corps du D-mannose, il est alors possible de traiter et de prévenir les cystites et les autres infections urinaires simples basses.

Les différents moyens de défense du système urinaire

Le système urinaire est naturellement pourvu de différents moyens de défense. Nous pouvons en recenser au moins quatre2 :

  • Le flux urinaire expulse les bactéries et gêne leur progression ;
  • L’acidité des urines empêche la croissance des bactéries ;
  • Le système immunitaire de l’organisme lutte contre les infections ;
  • La paroi de la vessie contient des cellules immunitaires et des substances antibactériennes.

 

Quand le système urinaire ne se défend plus… les infections urinaires progressent !

Les infections urinaires touchent environ 4,5 millions de personnes en France3. La plus fréquente est la cystite, infection et inflammation de la vessie. Elle touche principalement les femmes. Elle est due à la prolifération d’entérobactéries (les entérobactéries forment une vaste famille de bactéries à l'origine de maladies de gravité très variable) et dans 90 % des cas d’E.coli2.

Le mode d’action des E.coli

La bactérie E.coli, appelée également Colibacille, provient du côlon et n’est pas initialement dangereuse. C’est en changeant de milieu qu’elle devient pathogène. Les E.coli pathogènes ont pour spécificité d’adhérer aux parois des voies urinaires4. Cette adhérence est permise par leurs pili. Les pili sont des poils au bout desquels se trouvent des récepteurs : ces récepteurs sont conçus pour adhérer au D-mannose.

Le mode d'action des E-coli

Les E. coli remontent au niveau de la vessie pour la coloniser et s’y multiplier. Il s’agit d’une bactérie relativement commune qui est facile à traiter. Elle réagit au D-mannose.

Bienfaits et propriétés du D-mannose

Traitement de la cystite aiguë

L’utilisation la plus courante du D-mannose est liée au traitement de la cystite aiguë. La cystite aiguë est une infection des voies urinaires invalidante et douloureuse. Dans la majorité des cas, elle se développe chez les femmes ou chez les jeunes filles. Bien que cette infection soit commune, il convient néanmoins de la traiter rapidement.

Il a été scientifiquement démontré que le D-mannose a un effet réel pour lutter contre la bactérie E. coli responsable de la majorité des infections urinaires2. Le D-mannose joue le rôle de leurre : il attire la bactérie dans les urines pour l’expulser lors du passage aux toilettes.

Prévention des infections urinaires

Certaines femmes développent des cystites régulièrement. Dans ce cas, un danger existe : à terme, les bactéries peuvent remonter dans les reins, altérer la capacité de filtration de l’organisme, et causer une pyélonéphrite (infection bactérienne survenant au niveau du rein) qui devient dangereuse. L’avis médical d’un médecin est alors indispensable.

Une étude clinique a été menée en 2014 sur 308 femmes mettant en avant le fait que l'utillisation préventive du D-mannose peut empêcher la récidive des infections urinaires5

Ainsi, en prenant du D-mannose, le risque de récurrence d'une infection urinaire était diminué de 45% par rapport au groupe sans traitement.  Il s'avère également que 85% des femmes sous D-mannose n'ont pas fait de récidives de cystite en 6 mois.

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- Efficace dans la cystite aigue simple* : W Wagenlehner F, et al. Non-interventional study with Femannose® N on efficacy and tolerability for acute uncomplicated urinary tract infection - JOURNAL PHARMAKOL.U.THER.1/2020 ·29. JAHRGANG
- Alternative prometteuse aux antibiotiques* : Wagenlehner F, et al. Why D-Mannose May Be as Efficient as Antibiotics in the Treatment of Acute Uncomplicated Lower Urinary Tract Infections - ANTIBIOTICS 2022, 11, 314.
- Flash/Rapide* : Traitement en 5 jours. (voir la notice
- Sûr* : aux composants biocompatibles et bien tolérés (voir la notice)

1. F. Parazzini, Systematic review of the effect of D-mannose with or without other drugs in the treatment of symptoms of urinary tract infections/cystitis, 2022 
2. Ameli, Cystite : symptômes et causes, 2021.   
3. Foxman B., Epidemiology of urinary tract infections: incidence, morbidity and economic costs, Dis Mon, 49 (2) : 53-70, 2003.   
4. Guglietta A., Recurrent urinary tract infections in women: risk factors, etiology, pathogenis and prophylaxis, Future Microbiol,  12 (3) : 239-246, 2017.   
5. En prévention - Kranjcec B., Papes D., Altarac S., D-mannose powder for prophylaxis of recurrent urinary tract infections in women: a randomized clinical trial, World Journal of Urology,  32 : 79-84, 2014.